LA PLAGE AUX ÂNES

Difficulté	Facile
Commune	Anse de Minaccia
Dénivelé	200m
Durée	3H00
Carte IGN	4153 OT Ajoaccio
Parcours	A/R
Balisage	Aucun

Point de départ

Au parking de la plage de l’anse de Minaccia

Intérêts

Belles plages – Ânes

Descriptif

A l’ordre du jour, une grande balade fin de l’après-midi à la tour du Capu di Fenu avec au retour une baignade et un pique-nique au coucher du soleil à la grande plage de Capu di Fenu.

Nous prenons la direction des Iles Sanguinaires par la D111, puis la D111B vers Capu di Fenu. Il faut parcourir 6 km pour arriver jusqu’à l’anse de Minaccia et sa grande et belle plage : Capu di Fenu. C’est là, qu’on gare la voiture. Déjà là, on est émerveillé par la beauté du site avec cette plage de sable fin et une eau turquoise, telle qu’on le voit sur les cartes postales.

Au départ, une dizaine de mètres avant la plage, on emprunte une piste qui mène au lieu-dit Stuppielli. Celle-ci s’élève dans le maquis. Après avoir franchi une barrière, on retrouve le bord de mer et on continue en direction de l’anse de Cala di Fica où se trouve une autre très belle plage avec une fontaine aménagée d’eau non potable destinée aux ânes qui vivent ici à l’état sauvage et pas toujours très sympa……attention aux coups de sabots. Malheureusement notre randonnée s’arrête là car le sentier vers la tour du Capo di Fenu est fermé par une barrière cadenassée, avec mention « propriété privée » ce qui n’est pas mentionné dans les guides touristiques, mais quelques jours après notre balade il y avait un article dans le journal Corse Matin concernant cette balade. (Clic pour voir l’article)

On peut apercevoir de l’autre côté du passage fermé, un sentier à gauche qui file pratiquement à plat en direction de la presqu’île et descend doucement jusqu’à la tour de Capu di Fenu. On a une vue magnifique sur les îles Sanguinaires et les plus hauts sommets de Corse (Tafunatu, Paglia Orba….)

C’est dommage car nous aurions voulu atteindre cette tour en ruine dressée
sur l’extrême pointe du cap

Pour le retour, nous n’avons pas suivi le bord de mer (sentier du littoral) car trop dangereux : escalade de rochers abrupts qui tombent dans la mer en contrebas. Nous avons donc emprunté le même chemin qu’à l’aller.